Apple bombe le torse. La célèbre pomme annonce fièrement avoir vendu près de 7 millions d'iPhone 3G ( rajoutez à cela les 6.1 d'Iphone première génération ). Contrat rempli puis-ce qu'Apple souhaitait en vendre 10 millions avant fin 2008. Cela va également bien pour les Macs, en 3 mois la firme en a refourgué 2.6 millions. Itunes fait gagner à apple 832 millions de dollars grâce aux ventes de "Mp3". Après on va nous dire que le secteur de la musique est au plus mal.
Apple a donc de l'argent à ne plus savoir quoi en faire avec 25 milliards $ de cash. Sur l'année, Apple indique avoir réalisé un chiffre d'affaires global de 32,5 milliards de dollars ( +35 % ).
Voilà grosso modo pour le côté "bon résultats".
Là où ça devient ironique, c'est lorsque Steve Jobs indique très clairement , en parlant de la crise financière :Nous sommes bien armés avec la meilleure gamme de produits de toute notre histoire, les plus talentueuses équipes et les meilleurs clients de notre industrie.
Que peux bien signifier " meilleurs clients " ?
Si certains y voient un compliment ( qui vient dire que ses clients sont des braves ? ) on pourrait mal l'interpréter:
"Nous sommes confiant dans cette crise, nos clients sont tellements cons qu'ils iraient acheter n'importe quel produit qu'on leur balance, on créé une mode avec rien, dans notre industrie".
En effet, comment une entreprise peut-elle définir un "très bon client" ?
Par définition, un bon client est un individu achetant "souvent" dans une même société. Cela signifie donc qu'il reste fidèle à ses habitudes. Il considère l'entreprise comme satisfaisante.
Mais une nouvelle fois, comment Apple peux savoir que son prochain produit sera un succès ? Ce n'est pas le boulanger du coin ou Carrefour.
Pourquoi un client chez Microsoft / Linux / Samsung est-il un "moins bon client" ?
News à troll au revoir.